Le 14 novembre, on fait la fête ensemble "Chez Madeleine".
L'Onction" est désormais hébergée "Chez Madeleine", à Miramas, en Provence.
Enfants, petits, grands, jeunes, moins jeunes, nous vous attendons avec joie le dimanche 14 novembre prochain pour vous faire découvrir notre abri.
Les portes seront ouvertes toute la journée, le programme plus précis est ci-dessous, venez quand vous voulez !
NB : La maison est tout près de la gare, toutefois, en nous avertissant de votre venue, nous pourrons organiser des co-voiturages.
Programme de la journée du 14 novembre
9h30 – 10h30 :
Laudes à la façon des pauvres de cœur
Café
10h30 : Messe avec la communauté paroissiale de Miramas
11h30 -12h30
Apéritif joyeux et sans alcool
Chant du semeur
Bénédiction de « Chez Madeleine » . Jean 12, 1-4
12h30 : Déjeuner- buffet
13 h 30 – 16 h : Scène ouverte sur le thème de l’hospitalité, la fraternité, Marie-Madeleine ou la pauvreté.
Participant de tout âge et de tous talents bienvenus.
Bienveillance assurée.Plus d’infos au dos.
16 h Goûter
17h Vêpres
Les enfants sont très bienvenus. Ils peuvent participer à la scène ouverte, manger tous les gâteaux – sans trop salir les nouveaux murs-… S’ils s’ennuient avec les grands, un atelier créatif les attend aussi.
Dimanche 14 novembre après-midi c’est « scène ouverte » Chez Madeleine
Scène ouverte… c’est quoi ?
Ce 14 novembre, pour faire la fête ensemble, on donne la parole à tous ceux qui veulent bien nous offrir un chant, un poème, une danse, un slam, un sketch sur des thèmes chers à L’Onction :
- L’hospitalité, à propos quand on ouvre une maison
- La fraternité
- Marie-Madeleine dont la maison porte le nom
- La pauvreté, tout spécialement en cette journée mondiale des pauvres
- Le mot « Onction » dont il faut bien percer le mystère
Ces performances devront durer 5 minutes au plus.
Elles peuvent être offertes tout seul ou à plusieurs.
Nous avons un ampli, un micro, une guitare, un djembé, des maracasses, un tambourin...
Merci de vous inscrire pour qu’on puisse organiser un peu le temps de passage
…mais les « ouvriers de la dernière heure » seront évidemment bienvenus.
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